J'ai toujours pensé que la classe des chevaux ne devait pas occulter le talent des jockeys, drivers ou entraîneurs. Certes, c'est le cheval qui galope mais c'est bien l'être humain qui tient les rennes et qui lui apprend son boulot. Au jockey de savoir utiliser le potentiel de l'animal. Bien sûr, il y a des exceptions, ces chevaux qui savent tout faire, même "lire et écrire" et qui pulvériseront leurs adversaires quel que soit la qualité du pilote. Ces cracks sont aujourd'hui récompensés. Les professionnels australiens ont en effet élu Black Caviar personnalité de l'année. C'est une distinction qui n'avait jusque là jamais échappé à un être humain. Black Caviar a même fait la une de l'édition australienne de "Vogue". Une première, aussi. Là, il est 14h00 et si je devais participer à un vote, Aussi Célèbre soit-il n'aurait pas mon bulletin.