Je me demande si je ne vais pas changer de tactique. A savoir, arrêter de jouer les courses où les meilleurs chevaux portent des montagnes de plomb pour tromper le turfiste éclairé. Autant jouer au loto ! Malheureusement, je ne peux pas me permettre d'engager des grosses sommes sur un super crack invicible. Dans le jargon, on appelle cela un "matelassier". C'est des professionnels, un métier, un vrai. Pour l'instant, je vais continuer à me concentrer sur le Quinté. Je retente Guyon. C'est le numéro 1. C'est un Américain. Il s'appelle Endellion. Pour l'excellent site Turfoo, "seul son gros poids de 61 kilos, ce qui est beaucoup pour une pouliche de trois sur un terrain très lourd, peut l'empêcher de participer à l'arrivée".